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Un juge américain a statué que Facebook doit
faire face à une poursuite en recours collectif, qu'il accuse de violer la vie
privée de ses utilisateurs en analysant le contenu des messages qu'ils envoient
à d'autres utilisateurs à des fins publicitaires.
juge de district américain Phyllis Hamilton à Oakland a rejeté la candidature de Facebook de rejeter le procès, qui a été déposée par les utilisateurs de Facebook Matthew Campbell et Michael Hurley en 2013. Selon la poursuite, jusqu'à Octobre 2012, quand Facebook dit qu'il a arrêté la pratique, il balayé le contenu des messages privés envoyés entre utilisateurs des liens vers des sites Web. L'information a ensuite été utilisé pour la remise de la publicité ciblée. Ce faisant, Facebook a violé les lois fédérales et de l'Etat, qu'ils ont éclaté par la lecture des messages Facebook personnelles et privées de leurs utilisateurs sans leur consentement.
Facebook a montré le tribunal de district de la Loi sur la protection des communications électroniques, et a fait valoir que la pratique a été couvert par ce . Le géant du réseau social a également déclaré qu'il ne révèle à tous les utilisateurs que la société pourrait utiliser les informations qu'ils reçoivent des utilisateurs à leur sujet pour l'analyse des données.
Toutefois, le juge Hamilton ne était pas satisfait de l'explication de Facebook. Elle a déclaré que Facebook ne avait pas offert une explication suffisante de la façon dont la pratique contestée relève la cour normal des affaires. Elle a également ajouté que la divulgation ne était pas suffisamment précis pour établir que les utilisateurs ont consenti expressément à la numérisation du contenu de leurs messages.
"le refus de Facebook d'offrir tous les détails concernant sa pratique de la publicité ciblée empêche le tribunal d'être en mesure de déterminer si le particulier pratique contestée dans ce cas devrait être considéré comme «ordinaire» a ajouté le juge Hamilton.
Pendant ce temps, Facebook a refusé de commenter l'affaire.
Google est sous examen juridique similaire pour l'analyse des messages de sa propre, mais ils ne ont pas de classe costume d'action imposé. experts Tech croire que le résultat de ces deux cas aura un impact énorme sur la façon dont nous communiquons sur le web à l'avenir.
juge de district américain Phyllis Hamilton à Oakland a rejeté la candidature de Facebook de rejeter le procès, qui a été déposée par les utilisateurs de Facebook Matthew Campbell et Michael Hurley en 2013. Selon la poursuite, jusqu'à Octobre 2012, quand Facebook dit qu'il a arrêté la pratique, il balayé le contenu des messages privés envoyés entre utilisateurs des liens vers des sites Web. L'information a ensuite été utilisé pour la remise de la publicité ciblée. Ce faisant, Facebook a violé les lois fédérales et de l'Etat, qu'ils ont éclaté par la lecture des messages Facebook personnelles et privées de leurs utilisateurs sans leur consentement.
Facebook a montré le tribunal de district de la Loi sur la protection des communications électroniques, et a fait valoir que la pratique a été couvert par ce . Le géant du réseau social a également déclaré qu'il ne révèle à tous les utilisateurs que la société pourrait utiliser les informations qu'ils reçoivent des utilisateurs à leur sujet pour l'analyse des données.
Toutefois, le juge Hamilton ne était pas satisfait de l'explication de Facebook. Elle a déclaré que Facebook ne avait pas offert une explication suffisante de la façon dont la pratique contestée relève la cour normal des affaires. Elle a également ajouté que la divulgation ne était pas suffisamment précis pour établir que les utilisateurs ont consenti expressément à la numérisation du contenu de leurs messages.
"le refus de Facebook d'offrir tous les détails concernant sa pratique de la publicité ciblée empêche le tribunal d'être en mesure de déterminer si le particulier pratique contestée dans ce cas devrait être considéré comme «ordinaire» a ajouté le juge Hamilton.
Pendant ce temps, Facebook a refusé de commenter l'affaire.
Google est sous examen juridique similaire pour l'analyse des messages de sa propre, mais ils ne ont pas de classe costume d'action imposé. experts Tech croire que le résultat de ces deux cas aura un impact énorme sur la façon dont nous communiquons sur le web à l'avenir.
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